Mais j'adore ! En plus, il est super sexe, ça me fait des frissons tout partout.
 

putain, c'est bon quand même!


Yeanpol
 

je n'ai regardé qui c'était qu'à la fin pour ne pas être influencé. au niveau technique je me suis dit "ouais il tient bien son registre médium, voix parlé, mais le registre aigu est plus que faux le plus souvent, trop bas." sinon je me suis dit, tiens voilà un groupe de variété américaine qui pourrait bosser dans la pub, les basics de l'industrie sont là, ils arrivent même à mélanger le rap, la pop, la folk, le rock américain et le gospel, il manquait qu'un passage de guitare en chicken (façon générique de l'homme qui tombe à pic) et le spectre commercial de l'industrie américaine était rempli... Suivant le pentagramme qui apparait on pourrait interpréter les paroles de la chanson comme une chanson d'illuminé invoquant son maitre trismégiste... c'est le john satanico lennon style, paix mondiale, amour et aleister crowley...
En résumé, dans une presta les mecs raclent tous les fonds de commerce de l'industrie histoire de voir grandir leur pas de porte... On l'avait déjà dit mais ton cuomo c'est le danone de la pop! Et non je ne te déteste pas! J'ai adoré bob marley et robert smith, l'un était un fourbe imposteur, malandrin de la propriété intellectuelle, l'autre, un alcoolique égotique prêt à tout , une sorte de madame de fonteney de la chanson...qu'ai-je à dire?

Donc en résumé: tu restes mon gino et le gars chante pas mal (sans plus) dans les médiums (en fait il se la joue crooner façon bono qui imite nat king cole) et comme une crevette plongée dans l'eau bouillante dans les aigues. Le morceau en lui-même est très pro et adapté au genre du show mais c'est surtout un fatra de jeune pute posé sur un vieux briscar, le décorum wagnéro-hitlerien et l'enchainement "qu'est-ce-qu'on-oublie-déjà-pour-plaire-à-tout-le-monde?" de tous les styles musicaux fait que cuomo endosse le role de "pretty woman" en même temps que celui du milliardaire qui l'épouse... Une sorte de pute mégalo... Sans savoir qui c'était je n'aimais pas mais je respectais le coté industriel plutot bien mené. C'est le prod artistique qui parle. L'artiste ne peux qu'y perdre sa salive... un brin par jalousie... gné pépèèèèètes!!!!!argeeeeeeent!!!!!
 

le premier mica est un imposteur du genre pervers-narcissique rigolard... 'tention à ta gueule quand même benny hill!!!